27 Août 2018
Après la gueulante des adhérents, après le vote contestable des statuts du Parti, après l’élection contestable et sans réelles opposition de Monseigneur Castaner à la tête du mouvement, après la débandade de plusieurs élus et le coup de mou des dits « référents » sur le terrain, voici encore poindre la discorde chez le parti présidentiel.
D’après les militants le Conseil (sorte de Parlement du Parti) est laissé inerte, alors qu’il est sensé représenté la démocratie interne du « mouvement ». De plus, entre la base et le haut il n’y a pas vraiment d'informations qui circulent, les militants sont donc laissés à eux-mêmes. D’autre part, les initiatives des adhérents, même minimes, sont assez souvent combattues par la direction, l’activité sur le terrain s’essouffle donc inévitablement.
Il est aussi dénoncé l’opacité des orientations prises par la direction, ce qui, pour un mouvement se faisant le promoteur d’un monde nouveau et plus démocratique, est un peu problématique… Et quand bien même les « locaux » voudraient faire des actions, leurs moyens sont limités (1000 euros environ).
Si cela continue comme ça, LREM sera le premier parti de pouvoir à rendre l’âme avant la fin supposée du mandat de son « président ». En tout cas, à nous de jouer de la division au sein de la base de ce mouvement pour changer cette société et arrêter le carnage macronien !
"C'est une vaste fumisterie" : la colère monte au sein de La République en marche
Si La République en marche revendique quelque 400 000 adhérents, sans obligation de cotisation, sa structure paraît toujours fragile après deux ans d'existence, à l'image de l'important turn-o...